Âgé de 30 ans, est un compositeur,interprète,pianiste,un bon chanteur et surtout un producteur confiant.Ayant fait ses études classiques à l’institution Saint Louis de Gonzague,ce dernier a quitté son pays natal pour aller s’installer au Canada afin de poursuivre ses études universitaires.Plus tard,diplômé en sound engineering,en administration et finance.
Medjy est un passionné de la musique.Dès son plus jeune âge,il a fait sa grande première avec TNT,après l’inexistence de ce groupe,il s’est vite lancé en solo.
Après avoir quitté son pays natal pour Montréal, en 2012 Medjy Toussaint crée le groupe Enposib, avec l’aide de Patrice Cave, cousin des célèbres musiciens Richard et Alan Cave. Avec son inséparable guitariste, Nicolas Millet dit Nico, qui est un ami de longue date de Medjy et aussi le chanteur de cette formation. Peu de temps après, le groupe se fait reconnaitre rapidement par l’entrée de leur chanson “bo’m sou 2 bò”, “pa tann”, “on ti pa” qu’on a pu entendre sur les stations de radio en Haïti et a marqué tout un public.
Compositeur interprète, après avoir lancé leur chanson Bom sou 2 bo et Pa Tann, que l’on a pu entendre sur les ondes de CIBL, CPAM et de Radio Centre-ville, le groupe se fait reconnaître par l’entrain de leur chanson. Inspiré des sons de leur enfance, tel Taboucombo, Systemband et Slai, ils proposent un mélange musical entre la musique haïtienne, comme le zouk et le kompa, et la musique populaire.
9ans Après s’est absenté,Medjy revient au pays.Dès leur premier joyau,baptisé”Chay”sorti en juillet 2016 au Karibe Hotel ,le groupe a connu un énorme succès.
De plus,ENPOSIB reste un groupe musical haïtien,de diverses tendances, zouk et compas.
Continuant sur le chemin du succès,il fait place à leur dernier morceau titré <defo> sorti en 2018, interprété par leur premier vocaliste Medjy Toussaint, l’homme qui continue à montrer au public ses défauts à travers des titres comme il l’a si bien mentionné dans ce dernier “Mw gen defo,I know”
Ils se font un plaisir de composer en créole, mais ne se gênent pas pour reprendre des classiques anglophones et francophones qu’ils remanient de façon à faire ressortir le côté groove et senti que l’on reconnait à la musique Afro-Américain.
